Messages Contemporains 2008
La jeunesse de Jésus
Jésus - reçu par FAB le 18 Août 2008, Santa Cruz, Californie, USA.
C’est moi, Jésus.
Laissez-moi vous parler de ma jeunesse. Depuis mon enfance, je ressentais un désir ardent dans mon âme. J’en ai d’ailleurs des souvenirs. Mais bien sûr, en tant qu’enfant, je ne pouvais pas identifier de quoi il s’agissait, du moins dans ma tête.
Mes parents étaient très doux et indulgents envers moi, car je me comportais bien et j’étais aimable, comme ils me l’ont dit. Ils m’ont tous dit que de tous leurs enfants, j’étais celui qui leur donnait le moins de soucis et qui manifestait le plus ces sentiments de dévotion filiale qui étaient proéminents dans ma personnalité.
Le lien avec ma mission a commencé lorsque j’ai commencé à apprendre ma foi Juive en Egypte. À cette époque, il était très populaire pour les Juifs de rechercher un chef. Ayant entendu cela à maintes reprises, j’ai très tôt commencé à me demander si j’avais un but spécial dans la vie. Le soutien inconditionnel de mes parents a été un formidable stimulant pour ma confiance en moi, et cela m’a donné la possibilité de penser à moi d’une manière différente des autres, et d’explorer des domaines de la vie qui étaient habituellement ignorés. En fait, en grandissant, j’avais beaucoup de temps libre pour réfléchir à ma vie et à la vie en général.
Ma relation avec Dieu était intime depuis ma naissance. Il n’y a jamais eu de moment dans ma vie où je ne me suis pas senti proche de Dieu, et avant l’âge de la connaissance, le grand amour et l’attention de mes parents m’ont donné le sentiment très sain d’être vraiment aimé. Ce sentiment a donc été transféré à Dieu dès que mon esprit a pu saisir le concept d’un Être suprême. Mais mon âme a toujours su que Dieu m’aimait. Ce que je veux dire par transfert, c’est que mon esprit d’enfant a assimilé les deux amours.
J’ai exprimé à mes parents, à de nombreuses reprises au cours de ma vie mortelle combien que j’étais reconnaissant de ce grand amour et de ce soutien. Ainsi, lorsque mon père et moi nous sommes affrontés, il n’y a pas eu de perte d’amour ; en fait, le désir de mon père de me faire suivre une autre voie provenait uniquement de son amour pour moi. Il ne pouvait tout simplement pas comprendre ce que je représentais. En fait, personne ne le pouvait vraiment. Et je comprenais parfaitement que mon père m’aimait.
Oui, les enfants sont très intuitifs et psychiques, et savent beaucoup de choses qu’ils oublient ensuite. On peut donc dire que j’ai toujours connu Dieu.
Lorsque mon esprit d’enfant a saisi le concept de Dieu, il n’y a jamais eu de conflit ou de doute avec mon âme. Ainsi, lorsque j’ai commencé l’école, je comprenais déjà, d’une manière psychique et spirituelle, de nombreuses choses enseignées dans la Torah.
Vous avez appris que l’intellect, malgré toute sa merveilleuse construction et son étonnante capacité, est, après tout, un appendice de l’âme. Dans ma propre enfance, mon intellect n’a jamais vraiment lutté contre mon âme. Le grand amour et le soutien de mes parents ont empêché que cela ne se produise. De plus, j’étais complètement connecté à Dieu depuis le tout début. Ainsi, l’amour parental et l’amour de Dieu ont travaillé ensemble pour nourrir et renforcer mon âme.
Vous m’avez correctement canalisé. Permettez-moi de clarifier. Il est vrai que j’ai toujours eu une connexion intime avec Dieu. Dans mes commentaires sur mon esprit au début de la vie, j’affirmais simplement que mes pensées se sont développées normalement, comme les autres jeunes esprits. Mais mon âme a toujours connu Dieu.
J’ai vraiment été élevé par mes parents, comme une merveilleuse provision de Dieu. Mon mental n’a pas suivi un chemin divergent. Il est resté en harmonie avec mon âme. Cela m’a donné une base psychologique très solide qui a intégré ma psyché et ma personnalité, et m’a donné la capacité d’aller vers la vie et de suivre mon propre chemin.
Dieu a veillé sur ma vie depuis le début, et il m’a donné des parents aimants et attentifs qui m’ont élevé comme un nourrisson et un enfant.
Je veux dire par là que ma jeune vie, comme toute nouvelle vie, avait besoin d’être nourrie par des figures parentales.