Messages Contemporains 2008
Servir dans l’Amour
Mère Teresa 1 - reçu par NA le 19 Janvier 2008, Melbourne, Australia.
Bonjour Nicholas, (Sa voix est très douce) Mon ami Gandhi est un très bon ami et j’ai écouté ces communications. L’amour était ma vie et ma vie était le service… au service de l’amour. Comme j’aimais, je savais car je sentais que Dieu « aimait » avec moi. L’Amour Divin je l’avais dans mon âme alors que je vivais sur Terre, bien que je ne connaissais pas les purs enseignements de cet Amour. J’ai réalisé le potentiel de ma vie et maintenant je suis avec beaucoup d’autres esprits, certains qui m’appellent encore Mère Teresa.2
Mes yeux, mes yeux spirituels se sont éveillés à l’amour le plus glorieux du Père et voir cet Amour si présent parmi tant d’individus est la reconnaissance de la vraie parole et du sens du salut. Comme vous pouvez le voir, je suis un bel esprit maintenant et j’ai engagé mon apprentissage dans l’Amour Divin pour aider les autres à apprendre de ce don merveilleux. Je n’ai pas à servir comme je l’ai fait sur Terre, car l’individu dans les sphères naturelles n’est pas sujet à la dépravation matérielle dont souffrent les perdus sur Terre. Mon amour est d’introduire l’Amour du Père et chaque individu doit prendre cette offrande pour son âme et son salut.3
Il est encore parfois difficile de savoir qu’un si grand Amour peut être si facilement reçu car Il est si librement donné, et pourtant les individus sont réticents à changer ou à embrasser un Amour dont leur âme a tant besoin. Nous qui avons cet Amour dans notre âme pouvons sentir sa présence augmenter l’amour de notre âme qui nous fait aimer encore plus que jamais. Quand j’ai rencontré Jésus pour la première fois, il m’a dit merci et j’ai souri et les gens autour de moi ont souri aussi et je savais qu’il disait merci pour l’amour (Il est très beau et brillant). J’ai réalisé que dans le drame du monde, il y en a tant qui donnent et aiment et surtout qui croient dans leur cœur à la bonté de l’amour, et que cette bonté prévaut et prévaudra. Dans la vie, nous avons tous notre place et notre contribution à apporter et, lorsque l’Amour Divin s’implique, que l’on soit dans le monde ou dans les sphères, cette contribution est vraie et on ne peut qu’être doux et ému lorsque nous voyons comment les esprits Célestes guident paisiblement ceux qui ne savent rien. Ces êtres, qui sont ici depuis très longtemps, n’ont jamais quitté l’humanité des yeux et leur capacité à servir le Père est une révélation d’amour, de beauté, de paix et de vérité.
Merci (un sourire très affectueux), Dans l’amour et le soin du Père, Térésa.
Mère Térésa (Albanaise : Agnès Gonxha Bojaxhiu ; 26 août 1910 – 5 septembre 1997) était une religieuse Catholique romaine qui a fondé les Missionnaires de la Charité à Kolkata (Calcutta), Inde en 1950. Pendant plus de quarante ans, elle s’est occupée des pauvres, des malades, des orphelins et des mourants, tout en guidant l’expansion des Missionnaires de la Charité, d’abord en Inde, puis dans d’autres pays. Dans les années 1970, elle était devenue internationalement connue comme pour son engagement humanitaire et sa défense des pauvres et des démunis, en partie grâce à un documentaire et un livre, Something Beautiful for God de Malcolm Muggeridge. Elle a reçu le prix Nobel de la paix en 1979 pour son action humanitaire. Les Missionnaires de la Charité de Mère Teresa ont continué à se développer et, au moment de sa mort, elle gérait 610 missions dans 123 pays, y compris des hospices et des foyers pour personnes atteintes du VIH/SIDA, de la lèpre et de la tuberculose, des soupes populaires, des programmes de conseils aux enfants et aux familles, des orphelinats et des écoles. Après sa mort, elle fut béatifiée par le Pape Jean-Paul II et reçut le titre de Bienheureuse Thérèse de Calcutta (Source : Wikipedia).↩ Mère Thérésa s’est exprimé ultérieurement dans un message communiqué le 23 Novembre 2017↩ Dans un message délivré par l’intermédiaire d’un autre médium, Judas a mentionné que Mère Teresa était passée, à sa mort, dans la Cinquième Sphère, indiquant ainsi qu’elle possédait l’Amour Divin.↩