Messages Contemporains 2007
Jésus parle sur l’avortement - 2
Jésus - reçu par FAB le 19 Septembre 2007, Santa Cruz, Californie, USA.
C’est moi, Jésus.
Je viens cet après-midi pour discuter d’un sujet qui, je le vois, vous a troublé : le sujet de l’avortement1 où la vie de la mère est en danger.
Oui, c’est une situation très difficile. Comment peut-on considérer comme un terrible péché le fait d’avorter un fœtus dans ces conditions ?
Dans le cas d’une grossesse résultant d’un comportement criminel, il vous est plus facile d’accepter l’idée que le bébé doit être mené à terme et ensuite donné, pour être pris en charge par d’autres, si la mère ne veut pas du bébé. Mais si la vie même de la mère est mise en danger, comment cela pourrait-il être un terrible péché ?
Eh bien, tout d’abord, permettez-moi de dire que les cas de ce genre sont relativement rares. Vous argumentez ensuite, mais il y a quand même un principe très important.
L’avortement est clairement la prise d’une vie humaine. Je tiens à ce que ce point soit clair. Et même si l’âme n’est pas encore entrée dans le fœtus au moment de l’avortement, ce potentiel est inévitable - le fœtus aurait de toute façon reçu une âme à terme. Il n’est donc pas important de soutenir que le fœtus n’est pas entièrement humain s’il n’a pas d’âme implantée au moment de l’avortement.
J’insiste sur ce point crucial par rapport au sujet qui nous occupe. Toute vie humaine est précieuse et sacrée.
Je ne peux pas répondre directement à cette préoccupation. Je ne suis pas évasif. J’insiste sur le fait que, quelle que soit la situation dans laquelle se trouvent les êtres humains, le Créateur prend en compte l’ensemble de la vie et les motivations des personnes concernées.
L’une des raisons pour lesquelles je ne peux pas répondre directement est que chaque situation est totalement unique, et que chaque personne a ses propres motivations et sa propre histoire de vie. De sorte que dans une situation difficile où la vie de la mère est en jeu, les personnes concernées devront prendre certaines décisions.
Tout ce que je dis, c’est que la vie du fœtus devrait également entrer dans l’équation.
Je ne peux pas répondre directement car je ne suis pas Dieu. De même, nous sommes tous responsables des événements uniques que nous choisissons.
Dans les situations impossibles, Dieu est là. Dans une situation où la vie de la mère est menacée, il est naturel de vouloir sauver la vie de la mère, sans tenir compte de la sécurité du fœtus. Le résultat de chacune de ces décisions entre dans l’état d’âme dont ces personnes sont responsables.
Mon but est donc d’amener à la conscience des mortels les faits que j’ai décrits ici. Ce qu’ils font dans chaque circonstance individuelle devient une partie de leur âme. Et dans chaque cas, la récolte suit les semailles. Je ne condamne pas ; je veux simplement faire remarquer objectivement que tout ce que nous faisons a des conséquences pour nous-mêmes et pour les autres.
Je n’ai pas jugé ni pris parti, car chaque personne doit prendre les décisions que la vie lui présente.
Jésus s’est préalablement exprimé sur ce sujet le 04 Mars 2007.↩