Messages Contemporains 2007
L’inconscient
Jésus - reçu par FAB le 22 Mars 2007, Santa Cruz, Californie, USA.
Je suis là, Jésus.
Je viens ce matin pour écrire sur l’inconscient. Il y a plusieurs endroits dans les messages de James Padgett où la réalité de l’inconscient est niée, mais dans votre canalisation de Moïse, vous avez canalisé que Moïse avait un désir inconscient de redéfinir sa vie. Vous aimeriez savoir où se trouve la vérité.
Eh bien, ce que nous réfutions par les canalisations de James Padgett, c’est qu’il existe une entité complètement séparée dans l’esprit, appelée l’inconscient. Je sais que la psychiatrie classique considère que la découverte de l’inconscient par Freud est très importante. Mais je répète ce qui a été dit par M. Padgett, à savoir que non, la réalité séparée d’un inconscient est inexistante.
Cependant, il existe dans chaque esprit humain des pensées qui se trouvent sous la surface et dont une personne peut ne pas être totalement consciente. C’est à cela que Moïse faisait référence, au fait qu’il était motivé par des forces et des pensées que son esprit conscient ne pouvait pas saisir. Et vous savez que souvent dans la vie, vous faites quelque chose et ne découvrez que plus tard la véritable raison, qui était cachée à votre conscience.
Donc, je dirai que le mot “inconscient” peut être utilisé correctement tant qu’il décrit une pensée qui existe mais pas pour l’esprit conscient. Et je réfute, une fois de plus, l’idée qu’il existe une division totalement distincte de l’esprit appelée l’inconscient.
Vous avez la pensée, mais les événements de l’enfance ne continuent-ils pas à affecter le comportement de l’adulte même à un âge plus avancé ? Eh bien oui, bien sûr. Mais cela ne signifie pas qu’il existe un inconscient spécifique. Cela signifie simplement que les pensées et les souvenirs de longue date s’accrochent aux parties profondes de l’esprit comme une ombre, et influencent le comportement.
J’affirme donc qu’il existe des pensées qui sont profondes et cachées, mais qu’il est toujours possible d’y accéder avec l’attention nécessaire. Et elles ne constituent pas une partie distincte de l’esprit.