Messages Contemporains 2006
La moralité du président Roosevelt
Franklin D Roosevelt - reçu par FAB le 26 Décembre 2006, Santa Cruz, Californie, USA.
C’est moi, Franklin Delano Roosevelt. 1
Vous ne devez pas craindre d’avoir mal interprété mes deux précédents messages.
La biographie de moi que vous avez lue présente deux facettes de ma personnalité - le moraliste sincère et le politicien consommé.
Et en effet, c’est vrai ; j’étais divisé dans mon âme. Les deux côtés m’ont tiraillé tout au long de ma longue carrière politique, et je réalise rétrospectivement qu’ils se sont parfois battus et disputés.
Donc ce que vous avez canalisé est vrai. J’ai dit que ma vision de la vie ne s’élevait pas au-dessus du plan terrestre. Vous avez senti que ce n’était pas vrai, puisque j’avais un fort sens de la moralité.
Mais étant un politicien dans l’œil du public, cette moralité a souvent été secouée par les tempêtes de l’opportunisme politique. Et, aussi élevé et sincère qu’ait été mon sens de la moralité, il n’a jamais été lié à quoi que ce soit de plus élevé que le plan terrestre. En fait, tout le reste me semblait hors de propos.
Maintenant, laissez-moi vous aider. Le sentiment de malaise que vous éprouvez à propos de vos difficultés professionnelles est normal, mais ces problèmes ne sont que temporaires. Vous en serez délivré et vous entrerez dans une période très heureuse de votre vie. La Providence brillera à nouveau sur vous, comme elle l’a toujours fait.
Votre préoccupation actuelle est le manque de capacité de rétention de votre cerveau, mais la cause n’est pas dans le fonctionnement de votre cerveau, mais plutôt dans le stress et la peur que ce dilemme provoque. Une fois cette cause éliminée, vous constaterez que votre cerveau retrouvera son rôle normal de fonctionnement. Vous avez réussi à vous débrouiller dans votre travail toute votre vie et vous continuerez à le faire.
L’ensemble des messages communiqués par Franklin Delano Roosevelt est accessible par l’intermédiaire de ce lien.↩