Messages Contemporains 2006
L’emplacement de Dieu
Jésus - reçu par FAB le 21 Octobre 2006, Santa Cruz, Californie, USA.
C’est moi, Jésus.
Vous avez lu, dans mon deuxième message officiel à M. Padgett, ce qui suit : « Il [Dieu] n’est pas dans un lieu particulier, ni assis sur un trône dans Ses Cieux. »
Ailleurs dans les messages de Padgett, je dis : « Non, comme l’a dit Moïse autrefois, et comme je l’ai dit moi-même quand j’étais sur terre, Dieu est dans Ses Cieux. Et bien que cela puisse être surprenant et étonnant à entendre pour les mortels, Dieu a Son Habitation ; et Dieu, la Substance, la Forme d’Âme Auto-Existante, a Sa Localité. »
Laissez-moi vous expliquer. Cette contradiction apparente s’explique par le fait que, dans cette première communication avec M. Padgett, je voulais le détromper de la pensée que Dieu est comme une personne, occupant un lieu comme un roi assis sur son trône, ce que certains ont cru. Non, Dieu n’est pas, dans ce sens, dans un lieu, comme peut l’être une personne, et Il n’est pas non plus en aucune façon comme une personne.
Mais le fait est qu’Il a un lieu, qui n’est pas une chambre ou une habitation comme l’humanité. La difficulté est, comme vous le dites, d’ordre sémantique. Le mot « lieu » peut être considéré comme un synonyme de « endroit ». Mais il n’y a pas vraiment de moyen de transmettre mon sens exact, car le langage humain n’a aucun moyen de décrire omment Dieu peut avoir un « lieu ». Bien que, d’une part, il ne s’agisse pas d’un lieu spécifique et concret que les mortels peuvent concevoir, d’autre part, il existe une Habitation dans laquelle Il réside.
En d’autres termes, je tentais de nier une conception anthropomorphique de Dieu. Une autre vérité est que Ses Attributs sont partout dispersés dans l’univers. Mais le cœur de Son Être est concentré dans une Demeure qui Lui est exclusivement réservée.
Lorsque les mortels qui croient aux messages de Padgett pénétreront dans les Cieux Célestes, ils comprendront pleinement ce que je dis. Il n’y a vraiment aucune contradiction, seulement un problème linguistique qui reflète les limitations de la vie mortelle.