Messages Contemporains 2006
La compréhension de la mission de Jésus par Jean le Baptiste
Jean-Baptiste - reçu par FAB le 19 Octobre 2006, Santa Cruz, Californie, USA.
C’est moi, Jean Baptiste.
J’ai observé votre préoccupation. J’ai canalisé à travers Daniel Samuels ce qui suit, dans Révélation 5 :
Cependant, je tiens à déclarer que je n’ai pas vraiment compris que Jésus apportait avec lui l’immortalité, qui vient de la possession de l’Amour Divin, et je ne possédais même pas cet Amour Divin dans mon âme au moment de mon exécution.
Et puis vous lisez ceci, que j’ai canalisé à travers M. Padgett :
Pour moi, Jésus était le vrai Christ. Je savais qu’il était le vrai et l’unique, et qu’aucun autre ne viendrait après lui. Car lorsqu’il a mis en lumière le fait que Dieu avait accordé à l’humanité la grande possibilité d’obtenir l’Amour Divin et la Nature Divine, il n’y a jamais eu par la suite la nécessité de l’existence ou de la venue d’un autre Christ. Le Grand Don qui était nécessaire pour faire de l’homme un être Divin avait été accordé, et au-delà de cela, il n’y avait rien que le Père devait accorder à l’humanité.
Laissez-moi vous expliquer.
Ma compréhension sur Terre de la mission de Jésus était imparfaite, et il est vrai que je ne possédais pas l’Amour Divin à ma mort. Alors comment aurais-je pu prétendre, par l’intermédiaire de M. Padgett, le reconnaître comme le Christ ?
Eh bien, nous étions tous impressionnés par sa personne, par les miracles et les guérisons qu’il faisait. Je connaissais aussi au moins consciemment l’Amour Divin, bien que je ne le possédais pas, car c’est ce qu’il nous enseignait. Comment cela peut-il être, vous vous le demandez ?
Eh bien, les mortels étant ce qu’ils sont, il est tout à fait possible d’entendre constamment parler de cet Amour sans le recevoir réellement. Cela s’est produit en raison de facteurs culturels et de personnalité qui m’ont amené à me concentrer sur ma propre mission et sur les nombreuses préoccupations pressantes et urgentes qui tourbillonnaient autour de nous en cette période tumultueuse.
Un autre facteur a été le fait tragique que je suis mort si tôt, et que je n’ai donc jamais eu la chance de me développer dans les enseignements de Jésus.
Vous pouvez donc voir que ma vie, comme celle de tous les mortels, s’est déroulée selon les exigences du jour et les dictats de ma personnalité, qui m’ont amené à me comporter selon ce que ma formation et ma conscience me disaient.
En fait, comme vous pouvez le constater, je n’étais pas vraiment un disciple à part entière de Jésus dans l’Amour Divin. Mais nous ne pouvions pas nous empêcher d’être impressionnés par l’autorité et la nature royale de sa personne, et par les merveilleux pouvoirs qu’il possédait. Et nous avons entendu les mots « Amour Divin » à maintes reprises.
Ainsi, la déclaration que j’ai canalisée à travers M. Padgett, que vous avez citée ci-dessus, était vraie, même si ma compréhension à l’époque était limitée.