Messages Contemporains 2006
Jésus et le Talmud - Les femmes, plus d’explications
Jésus - reçu par FAB le 17 Octobre 2006, Santa Cruz, Californie, USA.
Je suis là, Jésus.
Vous venez de relire, dans la canalisation du Dr Samuels, Révélation # 13 du Nouveau Testament, que « les conditions affectant le mari et la femme étaient encore pires à mon époque qu’à l’époque de Moïse ». Vous sentez que cela entre en conflit avec votre propre canalisation, « Jésus et le Talmud - Les femmes ». Laissez-moi vous expliquer.
Dans un sens, les deux sont vrais. De même qu’à votre époque, certains idéaux prévalent et sont contredits par l’imperfection du plan terrestre, de même dans la Judée de mon temps, les idéaux relatifs aux femmes ont à la fois prospéré et été malmenés.
Dans votre pays, les États-Unis, la liberté vous a permis de jouir de certains privilèges. Et pourtant, tout le monde est conscient des limites de la liberté à cause du péché et de la cupidité de l’homme.
Et donc, de la même manière, nous avions un idéal de la féminité dont j’ai pu m’inspirer, qui existait réellement. Simultanément, il existait ce que vous appelez un double standard, qui conférait aux maris un certain type de domination et d’autorité.
Mais la tradition Juive avait déjà reconnu la sainteté du lien entre l’homme et la femme, tel que décrit dans le magnifique Cantique des Cantiques.
Ainsi, tout comme vous pouvez croire avec confiance et fierté en la liberté que représente votre pays, tout en étant pleinement conscient qu’elle est défectueuse, j’ai exulté dans la tradition Juive honorant la sainteté du mariage, bien que j’aie vu très clairement comment elle était souvent en deçà de la réalité.
Vous faites l’expérience de la réalité que la vie terrestre est imparfaite, et pourtant, parce que vous êtes un idéaliste, vous choisissez de relever les meilleurs aspects de l’humanité, et vous vivez selon ces valeurs privilégiées.
J’ai donc moi aussi compris que mes compatriotes Juifs n’honoraient souvent pas leur héritage, mais j’ai pu voir au-delà de cela, dans la belle tradition qui honorait essentiellement les femmes, même si celles-ci ont souvent souffert de l’incapacité de certains Juifs à se montrer à la hauteur d’un idéal sanctionné dans leur culture.