Messages Contemporains 2003

Au bord d’une rivière

Jésus - reçu par PJR1 le 21 Août 2003, New York, USA.

Si j’entendais dire que tu pourrais marcher près d’une rivière

près d’ici, un jour,

je conduirais jusqu’à elle et j’attendrais ;

Tu pourrais me croiser sur ton chemin.

mais, non. Cela n’arrivera pas ;

Je suis 2 000 ans trop tard.

Au lieu de cela, tu quittes ta maison sacrée

et viens me rendre visite !

piégé ici sur la Terre des mortels ;

Comment cela a-t-il pu arriver ?

Plutôt que de me réjouir, je suis rempli et je me demande : est-ce vrai ? –

d’incrédulité, de peur et de doute ;

Je ne vois pas comment cela pourrait être toi.

Note mes paroles, comme celles que j’écris,

mais laisse-moi aussi dire :

Tes visites et ta tendre attention

Je les apprécie.

Porteuse des ténèbres de la terre,

tu me témoignes un respect sincère.

Oh, pourquoi, avec moi, tu t’embêtes à paraître…

si aveugle, si souillé, et imparfait…

Tu sais parfaitement quelle est la réponse à ta question.

Non seulement je t’aime

avec l’Amour du Père,

mais je suis inexorablement attiré vers toi

Par la fusion harmonieuse de nos désirs…

le tien d’entendre le message que le Père m’a donné à partager,

et le mien de le partager avec toi.

Au-dessus et au-delà de nous,

au-delà de cela –

il y a le Père, Lui-même,

qui a créé tout ceci,

le toi et le moi.

afin de partager les désirs harmonieux qu’Il a ressentis

qui l’ont conduit à exprimer son âme en nous.

Sois assuré de mon désir de venir vers toi et de partager,

par cet écrit,

Son Amour et Son Désir pour nos Amours

est tout aussi fort en moi,

que ton désir de rencontrer ton Jésus et de le voir

l’est pour toi.

Et ces désirs grandissent en nous jour après jour.

Oh P____ , le Père est allé jusqu’à un tel point

et a nourri Ses enfants avec un soin si délicat

que cela fait vibrer les cordes de mon cœur

quand je m’assois pour contempler : Son Art, Son Artisanat.

Et je le remercie d’être mon Père,

et le tien,

d’être le Père aimant qui se soucie tant

de sa plus haute création ;

qui nous offre, de sa part,

la plus aimable considération :

d’abord, en nous permettant un libre arbitre complètement libre,

et aussi en nous montrant

et à tous ceux qui l’atteignent –

un chemin vers la maison de nos rêves les plus profonds –

à chaque pas que nous faisons, en avant ou en arrière ;

à chaque coin de rue que nous tournons ;

avec chaque décision,

avec chaque espoir,

avec chaque désir.

Il crée inlassablement, en notre faveur –

en construisant toujours des ponts vers un avenir harmonieux,

gardant en vue un horizon bien au-delà de ce que nous pouvons imaginer,

même si nous essayons de nous étirer, de grandir et de percevoir.

Si j’avais su que tu marcherais le long d’une rivière

bientôt, un jour,

je me précipiterais vers elle

pour que tu me croises sur ton chemin-

pour que je puisse avoir une chance de te dire

tout sur l’amour du Père –

ce qu’il signifie pour moi

et comment il peut devenir une partie de toi.

Je sais que tu as cessé d’écrire, pour être simplement près de moi, 1

et j’apprécie sincèrement cela.

Peut-être que le train de cinq heures pour Gladstone

fera l’affaire pour un fleuve – jusqu’à une autre fois.

Mais dans tous les cas, je dois me mettre en route.

En te laissant maintenant jusqu’à ce que nous nous croisions à nouveau, je dirai : Continue à prier le Père pour que le don de Son Amour descende sur Toi et fasse de toi sa maison.

Ton ami, Jésus.

  1. En fait, après le paragraphe précédent : trop abasourdi pour continuer. PJR.

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