Messages Contemporains 1984-1994

Confirmation de l’ordination

Jésus - reçu par Révérend Dave Lampron le 6 Mai 1990.

[Très cher Maître, Jésus, comme vous le savez, Maître, maintenant que G____ a terminé son cours d’étude, et que les membres du comité de thèse ont reçu sa thèse et y ont répondu, il vous incombe maintenant de présenter vos commentaires quant à la candidature ministérielle de G. G a travaillé fidèlement et assidûment pour remplir les exigences ministérielles, et apparemment sans l’appui et le soutien de certains membres de sa famille. Sans aucun doute, cela a demandé à G____ de faire preuve de beaucoup de courage pour continuer face à cette opposition, et nous pensons qu’il mérite des éloges particuliers pour sa persévérance malgré cette opposition.

Nous savons tous combien il est spécial pour tout mortel d’être gratifié de votre réponse personnelle, et je prie donc pour que je sois particulièrement clair aujourd’hui en recevant vos pensées qui, je le sais, seront chères à G____ pour le reste de sa vie et pendant toutes ses années de service à notre cause mutuelle sur cette terre.

J’accueille maintenant votre présence affectueuse et votre message d’aujourd’hui.]

Je suis maintenant ici pour écrire, mon cher frère en Christ, et je suis particulièrement heureux de répondre à votre demande de répondre à la candidature ministérielle de G_. Je suis, bien sûr, votre ami et frère dans l’Amour de Dieu, Jésus, qui est le Maître des Cieux Célestes et le chef éternel de notre église sur terre, et je voudrais commencer en disant que nous, dans les Cieux Célestes, sommes toujours très fiers et heureux lorsque nous avons le privilège d’accueillir un autre mortel dans notre giron ministériel. Et pour dissiper rapidement toute anxiété que G_ pourrait ressentir, je suis heureux de dire d’emblée que nous approuvons pleinement sa candidature et que nous souhaitons qu’il reçoive immédiatement son ordination ministérielle. En vérité, il a mérité ce privilège et cette responsabilité, et nous sommes impatients de lui offrir nos conseils spirituels alors qu’il se lance dans le service glorieux d’apporter la Vérité de l’Amour de Dieu à tous ses frères qui ont encore faim de la « nourriture » de cet Amour manifesté dans leur propre âme.

Comme vous, les Administrateurs, le savez, la route du service sur le plan mortel peut parfois être très difficile. Alors que le monde aspire à la paix, à la santé et au bonheur, ces valeurs sont rarement atteintes pendant une longue période lorsqu’elles sont recherchées par le mental matériel ou par les seuls pouvoirs de l’intellect. La prière à notre Père s’élève pour obtenir ces bénédictions, et de telles prières, offertes par l’âme, atteignent l’oreille attentive du Père et reçoivent des réponses bienveillantes. Mais ce qui manque encore, c’est une prise de conscience de la part de Ses enfants qu’il existe une Bénédiction au-dessus de toutes les autres qui, si elle est obtenue, conduira automatiquement à l’accomplissement de toutes les bénédictions de moindre importance. Je parle, bien sûr, de la Bénédiction de l’Amour de Dieu, qui, en entrant dans l’âme, la prépare progressivement à recevoir toutes les bénédictions que l’on peut espérer recevoir, et bien d’autres encore qui sont disponibles dans l’entrepôt insondable de la Grande Âme de Dieu. Et c’est le grand souhait du Père que tous ses enfants apprennent à puiser dans ce grand entrepôt de ses bénédictions en cherchant d’abord le Royaume des Cieux d’où découlent toutes ces bénédictions. C’est l’Amour de Dieu qui existe de manière prééminente dans le Royaume des Cieux, et quiconque trouve ce Royaume trouve tout.

Mais, comme je l’ai dit, dans un monde rempli de conflits, de peste, de maladies, de péchés, d’erreurs et de guerres à plusieurs niveaux, pour celui qui choisit de fournir un service à ses frères qui sont pris dans une telle négativité, les récompenses sont rarement immédiates ou satisfaisantes. Le fait d’apporter un message sur la disponibilité restaurée de l’Amour de Dieu pour tous ses enfants, donné à quiconque demande cet amour immortalisant dans une prière sérieuse et sincère, n’a pas nécessairement pour résultat que ce message soit reçu avec des oreilles ouvertes et des cœurs réjouis ; et cette présentation n’a pas non plus pour résultat que l’honneur et la gratitude soient accordés au porteur du message.

Alors que je passais de l’enfance à l’âge adulte, recevant chaque jour et chaque année un peu plus de l’Amour du Père, jusqu’à ce que j’atteigne finalement le jour de mon ordination ministérielle - qui m’a été donnée par le Père lui-même - la mission que j’étais sur le point d’entreprendre et les chemins que j’allais bientôt parcourir n’étaient pas faciles à bien des égards. Pour commencer, ni mes parents ni mes frères et sœurs n’étaient guère convaincus de ma prétention à être le Messie choisi par Dieu pour annoncer la bonne nouvelle du vrai salut et de l’immortalité retrouvée. Comme il est écrit dans la Bible, ils ont d’abord tous pensé que j’avais perdu la raison et que mes déclarations étaient le produit d’un esprit dément influencé par un excès de zèle. Et il est certain que ma communauté immédiate n’avait que peu ou pas de foi en mes affirmations, car elle m’avait toujours considéré comme le fils obéissant d’un charpentier qui avait atteint l’âge adulte d’une manière semblable à celle des autres fils d’hommes. Ainsi, comme il l’a alors été observé, et comme cela a été souvent répété au cours de l’histoire, un prophète est rarement accepté dans sa propre communauté ou son propre pays.

Mais que devais-je faire face à ce rejet initial - abandonner la mission pour laquelle je savais avoir été choisi ? Non, que je sois accepté ou rejeté, je savais au fond de mon cœur et de mon âme qu’il n’y avait pas de compromis possible avec la Vérité, et que l’on ne pouvait jamais vraiment vivre avec autre chose que la Vérité une fois qu’elle avait imprégné son existence. La résolution, alors, était de ne pas se résigner devant le rejet des autres, mais de s’efforcer encore plus de devenir l’exemple vivant de l’Amour de Dieu manifesté dans mon âme, afin que les autres, en étant témoins de cet Amour, puissent être persuadés de mes affirmations après tout, et puissent donc suivre le même chemin qui a conduit à mon propre salut et à la proximité suprême avec le Père.

Et donc, je te dis, G_, mon cher frère dans le Christ, reconnais que tu te joins à une foule d’entre nous qui ne sont pas étrangers au rejet - le rejet venant même de ce qui nous est le plus proche : nos familles et nos amis. Mes propres disciples ont été insultés et on leur a craché dessus, et certains des administrateurs actuels de notre église ont également subi des abus alors qu’ils tentaient de servir la volonté de notre cher Père Céleste. Mais prenez courage, G_. En restant ferme dans vos convictions et fidèle à projeter votre propre amour à tous, les chances sont très bonnes que les différences de croyance religieuse parmi votre famille ou vos amis ne vous priveront pas, ni vous ni eux, de l’amour que vous partagez vraiment dans vos âmes. L’unanimité de l’âme est bien plus souhaitable à conserver que l’unanimité de la pensée. Et tant que vous serez un exemple d’amour, vous attirerez à vous des réponses d’amour, quelles que soient les différences de convictions mentales transitoires.

Mais même si l’on ne reçoit pas de la part de sa famille et de ses amis la pleine mesure d’amour et de respect que l’on espérait, en dépit de ses meilleurs efforts d’amour, gardez toujours à l’esprit que l’Amour de Dieu est éternel, et que c’est Lui que nous servons et aimons avant tout en tant que Ses ministres ordonnés et choisis. Et bien que l’amour humain ou naturel soit le plus digne d’être gagné, il ne peut être comparé à l’Amour Divin que Dieu offre à ses enfants qui cherchent à faire sa volonté et qui s’efforcent d’apporter la vérité de son Amour permanent à tous ceux qui ont des oreilles pour entendre et des âmes désireuses de le recevoir.

Avant de conclure, je voudrais dire que nous sommes tous très fiers du travail que tous nos bien-aimés collaborateurs accomplissent, et nous attendons avec impatience de nombreuses autres années fructueuses d’efforts mutuels avec nos frères et sœurs dans la chair qui consacrent leur vie au service du Père. Et, aujourd’hui, nous avons le privilège et la joie de reconnaître G. M. U. comme un véritable collaborateur et un frère bien-aimé dans le Christ qui va maintenant prendre sa place à nos côtés dans notre armée du salut qui ne cesse de croître.

Je vous laisse maintenant avec mon amour et mes bénédictions, et les Bénédictions du Père. Je suis votre frère et ami, Jésus de la Bible et Maître des Cieux Célestes.

Lien vers les messages des années 1984 à 1994

Lien vers la liste des messages contemporains classées par année