Messages Contemporains 1969
Parler à deux étrangers pour la première fois
Augustin - reçu le 22 Décembre 1969, Vancouver, Colombie-Britannique, Canada.
J’ai été avec vous pendant un certain temps, et en ce qui vous concerne, je peux sentir que certains changements dans vos vies seraient les plus recommandables. Je me réfère à la condition de votre âme. Mais encore, mes amis, nous devons faire un test. Je ne vous demande pas de changer, mais de mettre vos croyances à l’épreuve et la vérité triomphera. Les lois de Dieu sont toujours manifestement vraies, toujours, et au fur et à mesure que vous testerez, vous découvrirez que de nombreuses croyances qui vous sont chères maintenant tomberont. Maintenant, mes paroles sont inacceptables pour vous et vous placez entre nous une barrière et je ne désire pas changer vos croyances mais je vous dis, cherchez toujours la vérité avant tout et testez.
Que Dieu vous bénisse, mes chers enfants, et que vous parveniez à réaliser le grand Amour transformateur de Dieu et le pouvoir que cet Amour a de transformer vos vies et vos âmes du chemin que vous suivez maintenant pour devenir l’esprit parfait, à ce chemin qui peut et va transformer l’homme en l’Ange Divin. Mais vous, mes enfants, vous devez toujours choisir car Dieu a donné à ses enfants le don du libre arbitre et il n’y a personne dans ces sphères qui désire vous enlever ce don de Dieu. Nous désirons seulement que vous soyez mis au courant des lois de Dieu et que vous mettiez vous-mêmes ces lois à l’épreuve dans vos propres vies et expériences et alors nous verrons. Car les croyances sont réconfortantes et chères à l’intellect. Mais elles n’aident pas la progression de l’homme dans l’éternité et il est beaucoup plus facile d’accepter l’Amour transformateur de Dieu que de réparer individuellement les péchés commis dans la chair et pendant que vous êtes dans le monde des esprits. Mais il n’y a pas d’âme qui n’atteigne l’état de l’homme parfait et le bonheur qui sera le lot de l’âme parfaite.
Néanmoins, je ne vois aucune raison pour que l’homme se contente de connaissances intellectuelles et d’une perfection limitée alors qu’il a la possibilité de progresser de façon illimitée dans l’Amour divin de Dieu.
[Question : Qui parle ? ]
Réponse : Augustin, évêque d’Hippone qui vous parle ce soir et je vous le répète, vous n’avez pas besoin de croire les paroles que je vous dis, mais je vous dis testez et voyez… testez et voyez mon frère. Bonne nuit mes enfants.